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François Dupeyron

Numéros de page :
7 p. / p. 22-28
Cut au noir, puis rideau sur la comédie urbaine, comme le chante sur le générique de fin Grand Corps malade. Film foncièrement libre, qui évite les écueils du bien et du mal-pensant sur ce qui est aussi constitutif de la France d'aujourd'hui, Aide-toi, le ciel t'aidera nous entraîne dans la comédie de gens qui sont noirs ou blancs dans une périphérie parisienne.