James Gray "The Immigrant"
Bulletin : Positif 634 - décembre 2013
Numéros de page :
7 p. / p. 24-30
"The Immigrant" a la beauté éternelle des classiques. Si "Two Lovers", en peignant un couple dans la ville, évoquait "l'Aurore" de Murnau, le blanc visage de Marion Cotillard au coeur du clair-obscur urbain, la poésie des taudis de "The Immigrant" renouent avec le Griffith du "Lys brisé" et des "Deux orphelines".