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couverture du document

James Gray "The Immigrant"

Numéros de page :
7 p. / p. 24-30
"The Immigrant" a la beauté éternelle des classiques. Si "Two Lovers", en peignant un couple dans la ville, évoquait "l'Aurore" de Murnau, le blanc visage de Marion Cotillard au coeur du clair-obscur urbain, la poésie des taudis de "The Immigrant" renouent avec le Griffith du "Lys brisé" et des "Deux orphelines".