Ils se disent victimes à la fois de stigmatisation au sein de la société française et de la terreur que fait régner le dictateur Ramzan Kadyrov dans leur pays d'origine et sur leur terre d'accueil. Pointés du doigt en France en 2020, à la suite des affrontements dans un quartier de Dijon, puis de l'assassinat de Samuel Paty, ces exilés, principalement de confession musulmane, se mobilisent a l'occasion de la campagne présidentielle pour attirer l'attention sur leur sort.