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Les Passions rebelles d'Octavio Paz

Numéros de page :
/ p. 108-110
"Les pensées politiques ont été insensibles aux passions humaines, aux crimes, aux amours, à la vie de tous les jours, à tout ce qui remplit les journaux". Ainsi, en juillet 1996, lors de son dernier passage à Paris, Octavio Paz expliquait à Jacques Julliard son détachement de l'action politique...