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Entretien avec Francis Eustache

01 février 2006
Numéros de page :
pp.4-8
En l’espace de quelques décennies, les études sur la mémoire sont passées d’une vision mécaniste à une approche subjective beaucoup plus proche de la réalité. Ainsi, il apparaît que les émotions peuvent, selon leur intensité, aider à la mémorisation ou au contraire entraîner des distorsions parfois très invalidantes.