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Pleure, ô mon Vietnam bien-aimé

16 mai 2009
Numéros de page :
1 p. / pp11.
Le cas d'un souverain communiste que la mise au jour des horreurs commises sous son règne n'a pas précipité du trône suprême dans les bas-fonds de la vindicte publique est-il exceptionnel ? Peut-être pas, si la médiocrité avérée de ses successeurs doit aboutir à le réhabiliter un jour, mouvement qui s'esquisse déjà en faveur de Staline et de Mao. On peut néanmoins parier que le culte de ces deux serial killers, s'il doit renaître un jour, conservera ses hérésiarques.