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Chaque soir, au moment du repas, la petite Jeanne est inquiète. Elle attend sans faire de bruit. Et ce qu'elle redoute finit toujours par arriver : la dispute, la colère, les cris. Jeanne a peur. Elle s'enfuit parfois, chez Mamie ou dans la plaine, sur son vélo bleu. Mais ce soir, il pleut et il fait nuit.... Alors elle ferme les yeux, elle appuie très fort ses mains sur ses oreilles et elle s'évade, loin, très loin d'ici, là où sa vie est belle, là où sa vie sera belle...
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Célia a tissé avec son arrière-grand-mère, Mamine, des liens très forts. Lorsque celle-ci commence à perdre la mémoire, la petite fille découvre que l'on peut oublier même ceux que l'on aime. Alors une nuit, elle rend visite à Mme Sognia qui tient le magasin de souvenirs. Le parchemin couvert d'écritures que déroule la marchande permettra-t-il à la vieille dame de retrouver son passé ? Ce texte poétique aborde un sujet auquel les enfants peuvent se trouver confrontés : la maladie de leurs grands-parents. L'image du magasin de souvenirs que la petite Célia, entre rêve et réalité, prend au pied de la lettre, permet de mettre des mots sur cette maladie de l'oubli. En consignant les souvenirs de Mamine, la petite fille partage aussi avec sa grand-mère son passé et devient elle-même dépositaire de ces histoires quelle pourra transmettre. Une jolie façon de dire que les enfants doivent également apprendre à profiter de cette richesse, quand il en est encore temps.