S'il existe un sport en vogue, c'est bien le badminton ! Pas une salle omnisports n'ouvre ses portes sans qu'un club ne propose d'y tenir ses quartiers. Quoi de plus normal ?! Le badminton permet de s'amuser et de faire des progrès rapides même chez ceux qui ne se connaissaient pas d'atomes crochus avec le sport. Qaunt aux amateurs d'efforts physiques intenses, ils se régalent. Le badminton combine la stratégie du tennis et l'intensité du squash ! Vous n'y croyez pas ? Essayez.

Aucun sport ne fait autant travailler de concert la tête et les jambes que le cross s'orientation. Il faut à la fois de bonnes dispositions athlétiques pour s'élancer en courant (ou parfois en marchant) hors des sentiers battus et beaucoup de lucidité pour étudier la carte, éventuellement se servir de la boussole et, au final, choisir le meilleur itinéraire. Participer à une course d'orientation, c'est partir à la découverte de la nature mais aussi et surtout... partir à la découverte de soi !

Le volley-ball est un sport de stratégie! On pourrait le comparer à un immense jeu d'échecs en trois dimensions où l'on assisterait à d'incessants changements de cases par des pièces bondissantes. Le volley fait effectivement appel à notre intelligence pour déjouer les plans de l'équipe adverse et favoriser nos propres desseins. Mais il exige également le sens du travail en équipe et une organisation sans faille. Cela lui vaut de conserver une place de choix dans le programme scolaire, pour le plus grand bonheur des élèves. Il améliore aussi les réflexes, la concentration, le développement musculaire des bras, des jambes et du tronc et convient parfaitement aux garçons comme aux filles à tous les âges de la vie

En Belgique, on associe souvent le rugby à des images, peut-être des souvenirs de vacances, en provenance du Sud de la France. Mais, au-delà du cachet exotique, le rugby possède beaucoup d'atouts pour nous séduire. Voici comment le décrit le vulvanologue, Haroun Tazieff, par ailleurs, grand passionné de rugby : "Courir et concourir, feinter et combattre, participer, contribuer, s'unir, foncer, enfoncer, s'affirmer, se surpasser, souffir, s'enchanter, endurer, râler, triompher, combiner, réfléchir, décider, attaquer, défencre, rire, s'esbaudir... Certains de ces verbes s'appliquent bien sûr à d'autres activités sportives, mais aucune d'elles, sauf le rugby, ne les comporte toutes."

Comme beaucoup de disciplines sportives, le handisport est né d'une idéologie. Après la Seconde Guerre mondiale, Le Docteur Guttman voulait que ses patients handicapés, souvent victimes de bombardements, retrouvent plus d'autonomie et, par la pratique du sport, renforcent leur confiance en soi. Il n'imaginait pas, à l'époque, du succès de sa démarche...(Quatrième de couverture)

Le hockey sur gazon possède toutes les qualités pour plaire. Il est à la fois athlétique, stratégique, créatif, spectaculaire. En outre, il est resté très fidèle aux valeurs ethiques qui caractérisaient l'a vènement de l'ère moderne du sport : fairplay, respect de l'adversaire, refus de la violence. Il échappe de ce fait aux ravages qui n'épargnent malheureusement pas d'autres disciplines plus médiatiques. (Quatrième de couverture)

Les victoires de nos joueurs praticipent évidemment à l'engouement que suscite le tennis dans notre pays. Mais ce n'est pas la seule raison. Le tennis trouve en lui-même les arguments d'une irrésistible séduction par l'alternance des moments de griserie lorsque le coup correspond à ce que l'on avait imaginé et de frustration lorsque la balle échoue dans le filet ou s'écrase dans les bâches. Voilà les ressorts de la passion. Et pas un joueur n'y échappe ! Pas même les pros qui, entre les échanges, restent parfois de longues secondes à se poser des questions. Le tennis joue donc de cette extraordinaire complexité pour nous ficeler à sa pratique. Tous ensemble ! D'ailleurs on ne parle pas d'adversaire au tennis, mais de partenaire. Un partenaire qui nous aide progressivement à prendre le dessus sur nos émotions et nos faiblesses techniques. Entrez dans l'aventure !

Dans la grande famille des arts martiaux, le taekwondo est la seule discipline estampillée "Made in Korea". Ce sport est effectivement né en Corée au lendemain de l'occupation japonaise et a participé à sa manière au rétablissement du sentiment d'honneur et de fierté nationale. Le taekwondo s'inscrit ainsi dans la recherche d'une véritable identité culturelle dont on s'aperçoit très vite qu'elle dépasse le cadre historique de son avènement. Ce livre vous emmène donc à la découverte d'une discipline à part dans la galaxie des activités sportives. Vous verrez, il y est beaucoup question d'honneur et de respect : pour les professeurs, pour les autres pratiquants et, in fine, aussi pour soi-même.

Dans la langue japonaise, Judo signifie "voie de la souplesse". Dans cette forme codifiée d'affrontement, on ne cherche pas à contraindre son adversaire par l'étalage de sa puissance, mais à détourner au contraire les forces de l'autre à son propre profit. Cet enseignement technique se double d'une approche plus profonde que sous-entend l'étiquette. Le judo ne peut donc pas être décrit comme un sport violent, ni même traumatisant. On apprend à se sortir sans casse de toutes les situations périlleuses, sportives ou non. Le judo marie donc les avantages d'un sport exigeant sur le plan physique, sécurisant dans sa pratique et d'une démarche quasi spirituelle où l'on prend progressivement conscience de ses forces et de ses faiblesses. Bref, une véritable école de la vie !

Mens sana in corpore sano (Un esprit sain dans un corps sain) déclarait déjà le poète latin Juvénal au première siècle de notre ère. Dans l'Antiquité, on considérait l'exercice physique comme l'un des piliers fondamentaux d'une vie saine et épanouie. Cette idée a perduré au fil des siècles pour aboutir aux nombreuses disciplines que propose la gymnastique actuelle. Qu'il s'agisse d'effectuer des prouesses aux agrès, de défier les lois de l'apesanteur au trampoline, de faire démonstration de grâce en GRS, de virtuosité au tumbling ou d'entretenir sa forme physique grâce à l'aérobic, les gymnastes diffèrent par leur pratique mais partagent une certitude : Juvénal avait raison

Théo Mathy retrace pour nous l'épopée des meilleurs cyclistes wallons, même s'il n'a pas eu la chance de saluer la victoire de ceux-ci - le dernier succès de Firmin Lambot remonte à 1922. (Quatrième de couverture)

Propose un premier pas sur le chemin de la découverte de ce sport qui demande de battre des records mais aussi permet de soigner sa santé ou de s'aérer l'esprit. Avec des informations : histoire, matériel, règlements, etc... (Livres Hebdo)

Propose un premier pas sur le chemin de la découverte de ce sport qui permet d'évoluer entre ciel et terre. Avec des informations de base : histoire, matériel, règlements, etc... (Livres Hebdo)

Propose un premier pas sur le chemin de la découverte de ce sport qui permet d'être porté à la fois par la vague et par le vent.Avec des informations de base : histoire, matériel, règlements, etc... (Livres Hebdo)

L'aïkido n'est pas un art martial tout à fait comme les autres. Ici, il n'y a pas de compétition, pas de KO, pas de jury, pas de vainqueur, pas de vaincu. Dans des rituels d'affrontement plus ou moins codifiés, on recherche cette harmonie gestuelle qui, dans l'esprit de l'aïkido, naît de la coordination parfaite des énergies physique et spirituelle. En japonais, "Aï" signifie harmonie, 'Ki" l'énergie et "Do" la voie. L'aïkido s'apparente donc à une quête quasiment philosophique d'équilibre intérieur. Ce petit guide vous aidera à découvrir l'histoire de cette discipline étrange entre le moment où elle est née dans l'esprit de son premier maître, Morihei Ueshiba (1883-1968) et celui où vous foulerez vous-même le tatami vêtu d'un large aïkodogi et armé de bokken (sabre), tanto (poignared) et jo (lance).

Entre le Tour de France, la Belgique et tout particulièrement la Wallonie, c'est une longue histoire d'amour et de passion. En effet, depuis 1948, le Tour a sillonné la Wallonie à vingt-sept reprises. Près de trente ans après Charleroi, c'est au tour de Liège d'accueillir en 2004, le Grand Départ. (Quatrième de couverture)