En deux disques vous allez découvrir la fascinante période du début de carrière chez Sun Records du chanteur et guitariste américain puis ses premières démos enregistrées pour Columbia Records. 57 titres dont 16 inédits qui feront comprendre à ceux qui en doutaient qu'il n'est pas qu'un chanteur country.

Ce dixième opus de l'ex-leader de Black Sabbath est produit par Ozzy lui même et Kevin Churko (Shania Twain, Ringo Starr, Britney Spears... ).

Ce disque est né d'une rencontre avec Martin Meissonnier, le réalisateur du disque, et d'une évidence qui s'est imposée : les riffs et les solos de guitare, c'est vraiment Bertignac. C'est un album rock, un rock animal, psychédélique dans lequel la guitare est à l'honneur.

Paradis secret titre phare du premier single d'un album que la chanteuse a peaufiné en studio l'été 2016, c'est bel et bien le premier extrait d'un pari de renouveau musical, qu'elle a mis entre les mains de son complice, l'auteur, compositeur et interprète Da Silva. Aux influences pop, rock et soul, le disque s'annonce plus mature, avec des titres plus organiques, une production très authentique. (Electre)

Le groupe californien revient avec son onzième album. Ce dernier instaure un climat entre le rêve et la réalité, brouille les repères et invite à s'échapper de la vie quotidienne en basculant dans un monde de fantaisie. Il sonne un peu comme si les Beach Boys et The Clash étaient tombés amoureux au bord de l'océan et avaient eu un magnifique enfant... (Electre)

Le digne héritier d'Andrew Weatherall et des Chemical Brothers présente là son premier album attendu de longue date par tous les prescripteurs électro après une poignée de maxis et de remixes encensés par une presse unanime. (Electre)

Star de la musique sénégalaise, guerrier culturel, ambassadeur des Nations Unies et artiste nommé aux Grammy Awards, Baaba revient avec son onzième album. Enregistré à Londres et au Sénégal, produit par Johan Hugo de The Very Best, on retrouve sur ce disque, Winston Marshall, de Mumford & Sons. L'album est un mélange de racines africaines et d'influences électroniques plus contemporaines, toutes magnifiquement entrelacées sur divers tempos, et transmettant différents messages à l'auditeur. Il s'ouvre sur le tapageur Fulani rock, soutenu par une batterie sombre et lancinante, et des guitares finement entrelacées. D'autres titres se distinguent comme les magnifiques One day et Gilli men, tous deux resplendissant de guitares chatoyantes, de tam-tams aux sonorités de velours, de douces cordes et de la voix de Baaba, dont l'écho rebondit délicatement contre un mur de choeurs euphoriques en couches multiples. (Electre)

Ce disque aux teintes gospel contient plusieurs chansons traditionnelles considérées depuis longtemps par la chanteuse comme sacrées. Des titres originaux, composés par les invités tels que Angelique Kidjo, Me'Shell N'Degeocello ou Toshi Reagon complètent le reste de l'album.

On était plus habitués aux duos Areski-Fontaine ou Areski-Higelin, mais voici que ce disque signe le retour en solo de l'une des voix les plus singulières de la chanson française. A 70 ans, il enregistre son deuxième album, heureux de jouer avec les mots et les notes. Il y chante ses propres textes, empreints de tendresse, d'humour et de sagesse, ainsi que deux poèmes érotiques de Brigitte Fontaine à qui il adresse avec pudeur et sincérité des déclarations amoureuses.

Djaima chante, fredonne et murmure tout bas les berceuses et mélodies slaves qui se transmettent de génération en génération. Sa voix, qui atteint la transparence angélique, berce les tout-petits et apaise leurs émotions. Et, avec Sam Santcho, le marchand de sable, Djaïma pose de doux rêves sur leurs têtes. Assoupis, les enfants rêvent-ils de jeux en forêts comme les oursons bruns, de miel printanier ? (Electre)

Depuis quelques années, Diego Imbert souhaitait revenir à ses premiers amours, à savoir la basse électrique. C'est donc tout naturellement qu'il a fait appel aux membres de son quartet : David El-Malek, Quentin Ghomari et Franck Agulhon. Mais il recherchait un son différent, plus "gros" pourrait-on dire. Il s'est alors dirigé vers Pierre-Alain Goualch au Fender Rhodes et aux claviers, Pierrick Pedron au sax alto et Bastien Ballaz au trombone. Basé sur des lignes de basse hypnotisantes, la musique qu'a composée Diego Imbert pour ce projet, s'inspire des années 70, mais l'arrangement, notamment des quatre voix "soufflées", est on ne peut plus ancré dans une démarche artistique résolument actuelle, dynamique, et soignée. Pour la réalisation de cet enregistrement, Diego a fait appel à Eric Legnini, spécialiste du genre, ce qui lui a permis de se concentrer sur son instrument et l'a libéré de la tâche difficile d'être réalisateur et musicien en même temps. (Electre)

La performance vocale de Jay Buchanan sur l'album est plus passionnée que jamais imprégnée parfaitement par les guitares de Scott Holiday, les lignes de basse de Dave Beste, et maintenus ensemble par le jeu précis de Michael Miley à la batterie. Neuf titres de rock and soul électriques produit par Dave Cobb, qui considère Rival Sons comme "le meilleur groupe de rock'n'roll sur terre !" (Electre)