Cette "petite dame" est la grand-mère de l'auteur qui, de cinq à douze ans, passa auprès d'elle ses vacances d'été. Une véritable complicité unissait ces deux êtres. Ch. Bertin se souvient des expéditions à bicyclette au bord de la mer, des séances de cinéma dans un café de la ville, des visites de Bruges, des lectures en commun et des moments privilégiés où, assis aux pieds de sa grand-mère, il l'écoutait parler de sa vie et de sa famille. Souvenirs racontés avec émotion et beaucoup d'amour.

Petite soeur d'un grand empereur qui avait toutes les faiblesses pour elle, mais qui était sans doute celui qui la connaissait le mieux, elle était belle, d'une sensualité effrénée et dévorée par l'ambition. Sans scrupule dès qu'il s'agissait d'atteindre le but qu'elle s'était fixée, elle se serait bien vue impératrice, mais le destin en décida autrement. (4e de couverture)

Dans ce roman d'anticipation, J. London imagine qu'en 2013, un immense fléau, contre lequel la science est demeurée impuissante, dépeuple le monde et anéantit l'humanité. Cependant, un espoir subsiste : les livres patiemment recueillis dans une grotte par un vieillard assureront peut-être la régénération de l'homme. Une fable sur les grandes peurs qui ravagent le monde

Une panne dans les bois en pleine nuit, des gens qui creusent une fosse, harcèlement au téléphone.... Une vraie toile d'araignée se tisse peu à peu.

Ce soir-là, Stella Rhodes sent l'atmosphère basculer dès qu'elle ouvre la porte de son immeuble, au milieu de la nuit. Là, au bout du vestibule, à l'endroit où devrait se trouver le vieux John, le liftier, en train de lire son journal dans la cabine de l'ascenseur, il n'y a que l'obscurité.

« Croissance, croissance », tel est le mot magique prononcé à satiété pour échapper aux crises systémiques qui deviennent notre quotidien. « Décroissance » serait un gros mot à bannir, synonyme d'une démarche prônant un retour vers l'obscurantisme, vers un passé niant le progrès. L'homme serait-il prétentieux au point de croire qu'il pourrait exploiter la planète et ses congénères jusqu'à plus soif et qu'il a créé un modèle générant toujours plus de richesses, toujours plus de plaisir ? Pourtant, depuis les thèses de Nicholas Georgescu-Roegen, nous savons que cela n'est pas possible, et Ivan Illich comme André Gorz nous ont appris qu'un autre schéma de société qui respecte tout à la fois l'environnement et l'homme est envisageable. Depuis toujours, Serge Latouche défend ce point de vue : ses chroniques et ses entretiens regroupés ici, parus dans différents médias, nous font prendre conscience de la justesse de ses analyses et de l'urgence du changement. Il n'est pas seulement question d'adapter notre attitude face au dérèglement de notre civilisation : il s'agit bel et bien de notre survie.

Gillon, jeune américaine, décide de quitter Charleston, la ville où elle a grandi, pour aller vivre à Londres. Elle emménage chez Tilly et Henry, un couple dont la vie est déjà quelque peu agitée par les allées et venues de leur ancien collocataires, William, et de sa petite amie. A l'arrivée de Gillon s'engage un chassé-croisé amoureux qui va réserver bien des surprises... (Livres Hebdo)