Aller au contenu principal

Allen, Woody (1935-....)

Article

Auteurs
Goldberg, Jacky Auteur du texte
On l'a cru un moment perdu pour le cinéma, mais c'était une blague. A l'affiche du dernier film de Woody Allen, « L'Homme irrationnel », Joaquin Phoenix enchaîne à son rythme - lent - les rôles choisis, souvent avec les mêmes cinéastes, les meilleurs. Dialogue avec un acteur américain vraiment pas comme les autres.
Numéros de page :
7 p. / p. 44-50

Article

Auteurs
Collet, Jean (1932-....) Auteur du texte
Numéros de page :
/ p. 106-109

Article

Numéros de page :
2 p. / p. 38-39
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Bi 1 exemplaire(s) disponible(s)
Bibliothèque des Littératures d'Aventure Libre accès REAL Disponible
Année de parution :
1991
Sa vie, tous ses films, les thèmes qu'il a toujours développés dans une oeuvre que l'on peut situer dans la lignée de Chaplin et des Marx Brothers. Cette nouvelle édition contient une interview exclusive.
Editeur :
Importance matérielle :
1 vol. (200 p.) : ill. : 26 cm
9782867460746
Veuillez vous connecter pour réserver

Article

Une quarantaine de films en quarante ans. La prodigieuse créativité de Woody Allen a fait de lui, après la disparition de Billy Wilder et la retraite de Blake Edwards, le plus grand auteur de comédies en activité. Ses contempteurs n'ont d'ailleurs rien à répondre devant cette évidence.
Numéros de page :
10 p. / p. 6-15

Article

A ses merveilleux portraits féminins des années 1980 (Hannah et ses soeurs, Une autre femme), Woody Allen ajoute aujourd'hui celui de Jasmine et de sa soeur Ginger. Le cinéaste poursuit ainsi sa réflexion sur la dichotomie de l'existence. Si, dans de précédents opus (Crimes et délits, Melinda et Melinda), un demi-film s'avérait enjoué, Allen explore ici le registre de la fatalité, sous l'influence assumée de Tennessee Williams.
Numéros de page :
5 p. / p. 28-32

Article

Pour pouvoir nous proposer un film par an, Woody Allen alterne désormais les genres, les pays, les tonalités. A un film sombre (« Blue Jasmine ») succéda un film solaire (« Magic in the Moonlight ». A celui-ci, une comédie d'époque situé en Europe, succède un semi-polar américain contemporain : « L'Homme irrationnel » est à la fois la satire d'un milieu familier du cinéaste, le campus universitaire (il était déjà prof de fac dans « Maris et Femmes » ), et une variation sur le thème du crime parfait.
Numéros de page :
9 p. / p. 6-14

Article

Auteurs
Valens, Grégory Auteur du texte
"Café Society", le dernier opus de Woody Allen réussit à diffuser la bonne dose de familiarité qui réconforte le public, use des thèmes attendus (le couple, la vie conjugale, la tentation, la fidélité) dans un classicisme soigné et avec un talent narratif extraordinaire. Le décalage temporel (les années 1930) fait écho aux problématiques d'aujourd'hui. A nouveau Woody Allen a réalisé un grand film.
Numéros de page :
2 p. / p. 29-30

Article

La gloire, c'est quand il n'importe plus qu'on soit vivant ou mort, on a l'éternité. Ne pas confondre avec "Celebrity", la notoriété papillonnante des phalènes d'argent qui ne fuient les flashes des paparazzi que pour mieux se brûler aux "sunlights" des télévisions...
Numéros de page :
/ p. 15-25

Article

Pour une certaine critique cinéphilique branchée, Woody Allen n'est certes pas un des réalisateurs majeurs de notre temps. Le cinéma serait "méchamment absent de son oeuvre", comme le relevait notre petit lexique des idées reçues paru dans notre numéro 440...
Numéros de page :
/ p. 4-39