Ainsi parle le nouveau héros de Woody Allen. Entretien métaphysique avec le réalisateur.

Titres recensés : "Seul sur Mars" de Ridley Scott ; "Notre petite soeur" de Hirokazu Kore-eda ; "Le fils de Saul" de Laszlo Nemes ; "Les yeux brûlés" de Laurent Roth ; "L'image manquante" de Rithy Panh" ; "Le Caravage" d'Alain Cavalier ; "L'homme irrationnel" de Woody Allen ; "Madame Bovary" de Sophie Barthes ; "L'étage du dessous" de Radu Muntean ; "The Lobster" de Yorgos Lanthimos.

Dans "Birdman", la jeune Américaine interprétait la fille de Michael Keaton, lolita un peu paumée. Avec "L'Homme irrationnel", en salles le 14 octobre 2015, elle retrouve Woody Allen qui l'avait révélée dans "Magic In The Moonlight". Une collaboration logique pour celle qui s'était mise au théâtre sur les conseils de son psy.

En promo pour le mineur mais sympathique "L'Homme irrationnel", le cinéaste à la clarinette en a profité pour se livrer à l'un de ses sports favoris : contester sa propre importance dans l'histoire du cinéma. Ecoutons-le.

On l'a cru un moment perdu pour le cinéma, mais c'était une blague. A l'affiche du dernier film de Woody Allen, « L'Homme irrationnel », Joaquin Phoenix enchaîne à son rythme - lent - les rôles choisis, souvent avec les mêmes cinéastes, les meilleurs. Dialogue avec un acteur américain vraiment pas comme les autres.

Critique du film "L'Homme irrationnel".