Reforestation, bitume antichaleur, cours d'école végétalisées, réouverture de la Bièvre : autant d'expérimentations et de chantiers menés par la Capitale et ses voisins pour faire baisser le mercure estival.

Ce matériau a permis de construire des immeubles lumineux. Mais le réchauffement climatique devrait nous amener à reconsidérer notre dédain de l’ombre et de la pénombre.

Architecte « météorologique » de la première heure, Philippe Rahm vient de publier sa thèse : une théorie de l'évolution des constructions humaines expliquée en partie par le climat. Une exposition tout aussi passionnante l'accompagne.

Modulables, économiques, rapides à monter et bioclimatiques, des maisons d'un genre nouveau sortent de terre. Leurs concepteurs, inspirés par le pionnier Jean Prouvé, limitent les coûts en produisant des éléments en série.

En pleine crise sanitaire, le précédent numéro d’"Urbanisme" (no 416, printemps 2020) s’interrogeait sur les scénarios permettant de parvenir à une ville bas-carbone, avec en ligne de mire l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050. Un engagement bien difficile à tenir, alors même que l’atteinte de cet objectif ne permettrait qu’un ralentissement de la hausse des températures. Et voilà, en plein recul de l’épidémie de Covid-19, qu’on évoque, en France, un risque de canicule pour l’été.

Comment un émirat brûlant et aride prétend se transformer en cité durable modèle.