Entre exercice physique, pratique ludique et compétition, le sport, reflet des pratiques sociales, a de tout temps ou presque accompagné les artistes. Et notre époque n'échappe pas au phénomène. Bien au contraire.

Cette étonnante toile de Gustave Courbet fit scandale au Salon de 1853 en raison de son sujet, jugé trivial, et du traitement très réaliste du corps des athlètes. Mais elle cacherait aussi la vive opposition de l'artiste envers le régime de Napoléon III.

Deux expositions reviennent sur l'olympisme, l'une au Louvre pour en découvrir les sources antiques, l'autre au musée national de l'Histoire de l'immigration pour offrir à travers les Jeux olympiques une autre histoire de notre temps. Deux approches différentes mais complémentaires. Sommaire. Inspiration antique, jeux modernes. « Les jeux sont en résonance avec le monde », entretien avec Élisabeth Jolys-Shimmells. Il était une fois les stades.

Mondialement reconnu pour sa fascinante série "Cremaster", films à l'esthétique baroque et futuriste, l'artiste protéiforme revient à Paris après dix ans d'absence avec une installation et des vidéos surprenantes qui interrogent la violence dans le sport - celle que l'on s'inflige, celle que l'on subit. Rencontre.

L’affaire est assez peu connue. Mais il se trouve qu’entre 1912 et 1948, les Jeux olympiques comportaient aussi un volet artistique avec des concours en architecture, sculpture, peinture, littérature et musique.

Créé à Margny-lès-Compiègne sur les terres picardes il y a maintenant quatorze ans, le Centre André François - Centre Régional de Ressources sur l'Album et l'Illustration, nous invite à une promenade inédite dans l'oeuvre d'André François, en résonance avec l'actualité sportive estivale.