Les courses de pigeons ont séduit Mike Tyson, le prince du Qatar et des dizaines de Chinois fortunés. Que peut donc bien cacher l'engouement international pour la colombophilie, dont le climax a été récemment atteint avec l'achat du pigeon New Kim pour 1,6 million d'euros ? Réponse dans les pigeonniers belges, où tout a commencé, il y a plus de 200 ans.

La présente contribution entend montrer qu’un « focus » trop unilatéral sur les violences allemandes « brouille » une approche plus nuancée de la période de l’invasion. Le risque existe alors de voir des pratiques, des modèles (d’action), des faits spécifiques échapper à l’attention. L’intervention des bourgmestres belges et des maires français durant cette phase chaotique du conflit se révèle très illustratif à cet égard

Les Nations Unies ont proclamé le 17 octobre 1994 première “Journée mondiale contre la pauvreté » . Pour la circonstance, un « Rapport général sur la Pauvreté » (R.G.P.) a été élaboré, qui a obtenu une grande valeur symbolique dans l’histoire du combat contre la pauvreté en Belgique.

Leo Vindevogel était le « bourgmestre de guerre » de la petite ville de Ronse/Renaix, et il fut le seul membre du parlement exécuté en Belgique après la guerre pour faits de collaboration. Dans une certaine mémoire collective tenace, il a été, peut-être, la figure symbolique la plus iconique, en Flandre, des « échecs » de la répression d’après-guerre. Cet article traite du processus constitutif de la formation de cette représentation mentale collective, mise en parallèle avec la vérité historique, en s’appuyant sur des sources non encore consultées

Restée inoccupée depuis l'arrestation du "monstre de Charleroi", en 1996, l'ex-maison du pire pédophile de l'histoire belge, rachetée par la mairie, sera bientôt détruite et remplacée par un jardin du souvenir. Un projet symbolique en mémoire des fillettes qui y ont laissé la vie.

Le Centre Wallonie-Bruxelles investit à Lyon la Villa Gillet et l'espace d'exposition de la BF15 et laisse s'y croiser de passionnantes écritures contemporaines.

À l’apogée de l’alliance transatlantique entre la Belgique et les États-Unis, le ministère belge des Affaires étrangères a construit une nouvelle chancellerie – la section des bureaux d'une ambassade – à Washington D.C. Les chercheurs en histoire de l’architecture diplomatique se sont principalement concentrés sur la politique de construction des (anciennes) grandes puissances comme les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France et la Russie.

La manière dont l'administration militaire allemande a intégré les prisons belges dans sa politique de sécurité pendant la Seconde Guerre mondiale n'a pas encore été étudiée de manière systématique. Cet article propose une exploration du champ et souhaite encourager de nouvelles recherches à la fois plus approfondies et comparatives sur le sujet