Bella e perduta
Article
Auteurs
Baecque, Antoine de (1962-....) Auteur du texte
Bulletin : <>Histoire 340 - janvier 2009
Que reste-t-il de la splendeur passée de l'Italie ? Entre fiction et documentaire, la vision du réalisateur Pietro Marcello.
Article
Auteurs
Lepastier, Joachim Auteur du texte
Bulletin : Cahiers du cinéma 722 - mai 2016
Que le spectateur se soit renseigné ou non sur "Bella e perduta", il lui est demandé dès les premiers instants d'abandonner ses repères habituels. Les premiers plans, tournés dans une volontaire crudité vidéo, nous montrent des vues subjectives à travers les couloirs d'un abattoir, transformant le spectateur en animal déjà condamné.
Article
Auteurs
Marx, René Auteur du texte
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 634 - juin 2016
Date parution pério
2016-06-01
Avec "Bella e perduta", Pietro Marcello invente une forme cinématographique en acceptant le hasard. Il préparait un documentaire sur Tommaso Cestrone, simple berger qui protégea héroïquement de la Camorra un palais du XVIIIe siècle dans la région de Caserta, près de Naples. Le tournage fut interrompu par la mort brutale de celui-ci à 48 ans, le jour de Noël 2013. Marcello imagina alors qu'un bufflon promis à l'abattoir, sauvé par Cestrone, était recueilli par un Polichinelle sorti des entrailles de la terre, intermédiaire, comme jadis, entre les morts et les vivants.