Aller au contenu principal

Belles familles

Article

couverture du document
Auteurs
Avec "Belles familles", le cinéaste signe à 83 ans son film le plus émouvant.
Numéros de page :
1 p. / p. 106

Article

couverture du document
Auteurs
Grelet, François Auteur du texte
Jean-Paul Rappeneau, l'oiseau rare du cinéma français, réapparaît après douze ans d'absence avec "Belles Familles". Cette comédie de moeurs met en exergue l'éternel paradoxe d'un cinéaste au rythme kubrickien, mais dont tous les films sont irrigués par son obsession pour la vitesse. Faut-il prendre son temps pour passer le mur du son ?
Numéros de page :
8 p. / p. 50-57

Article

couverture du document
A l'affiche de l'excellent « Belles familles », Marine Vacth évoque le cinéma de Jean-Paul Rappeneau, son expérience avec François Ozon, Le mannequinat, la littérature, et son peu de goût pour l'exercice de l'interview.
Numéros de page :
2 p. / p. 20-21

Article

couverture du document
Douze ans après le très beau « Bon Voyage », Jean-Paul Rappeneau nous revient avec un nouveau film dans lequel on retrouve nombre des qualités de son prédécesseur : un tempo virevoltant, un mélange de mélancolie et de légèreté, une ouverture sur le monde et l'Histoire qui confère à l'ensemble une dimension opératique. On y reconnaît aussi une certaine façon de conduire le récit dont le cinéaste révèle, dans le long et passionnant entretien qu'il a bien voulu nous accorder, quelques-uns des secrets de fabrication.
Numéros de page :
9 p. / p. 16-24

Article

couverture du document
Auteurs
Mérigeau, Pascal Auteur du texte
Date parution pério
2015-10-08
L'un incarne les grosses productions populaires, l'autre le cinéma d'auteur. Jean-Paul Rappeneau les a réunis dans "Belles Familles". Entretien croisé avec deux comédiens issus d'univers opposé.
Numéros de page :
4 p. / p. 100-103

Article

couverture du document
Auteurs
Guerand, Jean-Philippe Auteur du texte
Date parution pério
2015-10-01
Douze ans après Bon voyage, Jean-Paul Rappeneau signe une comédie de moeurs trépidante et réunit un aéropage de choix autour de Marine Vacth, véritable centre de gravité d'un film choral qui s'inscrit dans la plus pure tradition française, telle que l'illustrèrent Marivaux, Balzac ou Jean Renoir. Avec, en prime, un plaisir communicatif qui passe à la fois par une écriture virevoltante, une interprétation hors pair et une mise en scène qui a le bon goût de ne jamais se montrer ostentatoire.
Numéros de page :
4 p. / p. 134-137