Aller au contenu principal

Bouton, Daniel (1950-....)

Article

Comment Daniel Bouton a sauvé sa tête
Trois mois après l'affaire Kerviel, le PDG était donné pour mort. Il a réussi un coup magistral.
Numéros de page :
2 p. / p. 106-107

Article

Le général en retrait
Touché, pas coulé. A quelques jours de l'assemblée des actionnaires, le président de la Société générale a accepté de prendre du champ, mais il n'a pas démissionné. Son parcours sans faute se sera finalement brisé sur l'affaire Kerviel.
Numéros de page :
5 p. / p. 84-88

Article

Daniel Bouton avait survécu aux multiples attaques des politiques et de ses concurrents. Il a finalement dû quitter la banque, lâché par les siens
Numéros de page :
2 p. / p. 94, 96

Article

un bluff à 4,9 milliards ?
Auteurs
Lemaire, Basile Auteur du texte
Depuis 2008, "l'affaire Kerviel" occupe les médias. Les camps se sont formés : pour certains, la banque savait et a laissé faire, pour d'autres le trader a agi seul. Notre enquête va au-delà pour comprendre ce qu'il s'est passé la semaine du 21 janvier, dans la salle des marchés, une fois Kerviel renvoyé chez lui. Les 4,9 milliards que le trader est supposé rembourser ont-ils vraiment été perdus ? Quel a été le rôle exact de Daniel Bouton, pdg de la banque ? L'Etat français a-t-il eu raison d'accorder un crédit d'impôt de 2,2 milliards à la banque ?
Numéros de page :
6 p. / p. 28-32, 34

Article

un fauteuil pour deux
L'attaquant, c'est Michel Pébereau, PDG de la BNP, un banquier froid et prudent, transformé brusquement en guerrier sans peur. Le défenseur, c'est Daniel Bouton, jeune patron de la Société Générale et ancien fonctionnaire très sûr de lui.
Numéros de page :
/ p. 44-46

Article

C'est l'histoire d'un petit trader, entré par la petite porte dans la prestigieuse salle des marchés d'une des plus illustres institutions financières et qui lui a finalement fait perdre 5 milliards d'euros.
Numéros de page :
6 p. / p. 58-93

Article

Date parution pério
2009-04-30
Bonus, stock-options, affaire Kerviel... La Société générale est devenue depuis quinze mois le symbole des dérives de la finance et son président Daniel Bouton le bouc émissaire des excès des banquiers. Les clients s'interrogent et les salariés, autrefois si fiers de leur banque, se désespèrent
Numéros de page :
3 p. / p. 64-66