Né à Magdebourg en Allemagne en 1851, Franz Philippson est le fils d'un rabbin célèbre, Ludwig Philippson, fondateur d'un important journal d'informations pour les juifs, l'Allgemeine Zeitung des Judentums, connu pour sa traduction de la bible en allemand et ses tendances libérales issues de l'idéal des Lumières. Franz se destine, dès l'âge de 15 ans, à une carrière dans la banque.

Saviez-vous que l'histoire de ce qui se tramait dans les hôpitaux belges réquisitionnés par l'armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale n'a jamais été étudié ? Et pourtant les archives Générales du Royaume (AGR) et du CPAS de Bruxelles sont assez édifiantes sur le sujet. Lors de l'invasion de la Belgique en mai 1940, l'armée allemande avait bien l'intention de ne pas répéter les erreurs de la Première Guerre mondiale, lorsqu'elle avait été confrontée à d'importantes déficiences sanitaires, avec une pénurie de médecins et de chirurgiens notamment.

Depuis trente ans, les passants ont le regard attiré par des vestiges archéologiques situés sous la rue de la Bourse, visibles grâce à des verrières. C'est en 1988 que les archéologues de la Société royale d'Archéologie de Bruxelles découvrent à cet endroit les murs de fondation du couvent des Frères mineurs, détruit peu de temps après la Révolution française. Ce site remarquable est alors préservé et aménagé pour le rendre accessible au public. Le premier musée archéologique bruxellois voit ainsi le jour : Bruxella 1238. Celui-ci vient de faire peau neuve.

Bouli Lanners y est prof, Christian Hecq y a été élève. Reportage à l'Insas, l'extravagante école bruxelloise de cinéma et de théâtre.

Les politiques urbaines tienent-elles suffisamment compte des avis des premières personnes concernées par celles-ci, c'est-à-dire les habitants et les habitantes ?

Situé dans un parc luxuriant à la périphérie de Bruxelles, l'AfricaMuseum affiche l'ambition de se "décoloniser". Que cela signifie-t-il ? Le pari est-il réussi ?