L'histoire de l'Eglise à travers ses oeuvres d'art les plus grandioses. Au fil des pages se découvre un Dieu beau, créateur d'un monde qui, bien que parfois défiguré par la folie des hommes, garde la trace de sa divine origine.

Cette histoire du Dieu chrétien à travers ses représentations iconographiques, peintures, sculptures, etc, depuis l'Antiquité, permet d'illustrer la question de la représentation de Dieu dans l'art, souvent litigieuse et contradictoire. Sur un modèle chronologique, l'auteur propose de découvrir les images sources de conflits et les images inattendues.

De quoi parlent ces entretiens ? Des divers aspects de la question des images religieuses aujourd'hui, à la lumière du problème spécifique de la représentation de Dieu dans l'art, et dans le monde tel qu'il est devenu. Celui de nos sociétés occidentalisées et sécularisées, où le vocable Dieu n'a plus du tout ce caractère d'évidence partagée qu'il semble avoir eu durant des siècles. Pouvons-nous encore comprendre, nous approprier le sens de ces images de Dieu ? Pourquoi le christianisme a-t-il une pratique des images religieuses si différente de celle du judaïsme et de l'islam ? Pourquoi permet-il, et même encourage-t-il la fabrication, l'exposition, la vénération d'images de Dieu ? Mais ces images ne sont-elles pas en train de prendre un coup de vieux ? Hier a fabriqué quantité d'images dont sont pleins les musées, les églises, les bibliothèques, les sites et les archives de toutes sortes. Mais pour quel usage, au-delà du devoir de mémoire ? Qu'allons-nous en faire, quelle mise en valeur sélective les Occidentaux vont-ils entreprendre de leur patrimoine d'images de Dieu ?

Cinq siècles d'échanges et d'influence du catholicisme sur l'art et la culture Kongos tant sur les représentations symboliques telles que les croix et les saints mais au-delà sur les organisations hiérarchiques de leur société. ©Electre 2016

Cet ouvrage illustré analyse les différentes représentations et fonctions de l'image médiévale depuis la fin du XIIIe siècle jusqu'à l'iconoclasme de la Réforme. Dans toute l'Europe occidentale, elle est en constante évolution, de la mise en place du portrait à la création d'une perspective non mesurée.