Le mythe du monstre des Carpates renaît sans cesse. La dernière resucée est peut-être la meilleure : quand plus tard résonnera le nom du comte aux dents longues, l'écho des cryptes répondra Francis Ford Coppola. Et ce sera justice.

En 1979, Francis F. Coppola présentait son chef d'oeuvre sur la guerre du Vietnam. Il y revient avec "Apocalypse Now Redux", version plus longue d'une heure.

Travaillant désormais en dehors des modes, des courants et en toute indépendance, Francis Ford Coppola propose un étonnant film d'horreur de tradition gothique, qui peut se lire aussi bien comme un manifeste théorique sur les diverses formes de l'imaginaire. Une pièce cinématographique rare et singulière.

Deux films, l'un de Coppola, l'autre d'un jeune Uruguayen - se choisissent pour héros des corps peinant à arbitrer entre l'écriture et la vie.

Se rendre à New York pour la présentation officielle du jeu inspiré du "parrain", dont la sortie est prévue pour la fin de l'année, voilà une offre qu'on ne pouvait pas refuser !

Francis Ford Coppola, dont le mal-aimé Tetro sort ce mois-ci, a écrit les plus belles pages du cinéma américain. Parmi elles, Le Parrain, premier volet d'une trilogie mafieuse, réalisé au début des 70's. Habitée par l'ombre imposante de Marlon Brando, cette fresque puissante renvoyait à l'Amérique d'alors, un visage bien sombre.

La famille Coppola s'agrandit avec Gia, petite-fille de Francis Ford, qui réussit son examen d'entrée avec le délicat "Palo Alto".