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Coups d'État -- Afrique

Article

Nouakchott, Conakry, Bissau et, à présent, Antananarivo... Les militaires reprennent du service. Coup d'arrêt à la démocratie du continent ou simple loi des séries ? Une chose est sûre, les armées africaines ne peuvent plus agir comme avant. Bonne gouvernance oblige.
Numéros de page :
8 p. / p. 22-29

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Près de trois ans après le dernier coup de force réussi, en Egypte, l'Afrique va-t-elle (enfin) tourner la page ? Le continent aux 87 putschs a vu défiler un nombre édifiant de "sauveurs suprêmes" en quête de reconversion.
Numéros de page :
8 p. / p. 20-27

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Congo, Rwanda, Burundi... Fini les coups d'Etat militaires. Mais sur tout le continent des présidents se livrent à de honteuses manoeuvres légales pour rester au pouvoir.
Numéros de page :
2 p. / p. 50, 52

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La multiplication des conflits et coups d'Etat traduit la profonde déstabilisation de pays insérés "à la hussarde" dans la mondialisation. Fragilisés, les Etats perdent leur autorité.
Numéros de page :
4 p. / p. 74-77

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L'Afrique subit avec une acuité particulière les déstabilisations politiques et sociales dues à la mondialisation. En effet, déjà fragiles, les jeunes Etats indépendants ont hérité d'une souveraineté chancelante que la domination des multinationales et la dislocation des sociétés sous l'effet des politiques d'ajustement structurel ont achevé de réduire à néant. Ainsi, la puissance publique devient une fiction dont on cherche à tirer profit et le coup d'Etat un mode naturel de conquête du pouvoir.
Numéros de page :
2 p. / p. 16-17