"Oui, c'est moi qui l'ai tué, le soir du 19 mars 1999, dans notre cuisine, à coups de fourchette..." En voilà, de beaux aveux.

Ces techniques de pointe utilisant des matériaux de quelques milliardièmes de mètre pourraient révolutionner la police scientifique.

Un nouveau livre-enquête affirme avoir identifié le célèbre tueur en série londonien grâce à des analyses ADN. Fin du mystère ou énième rebondissement dans cette affaire criminelle hors normes ?

La police dispose d'une arme nouvelle et redoutable contre les criminels : les empreintes génétiques. Du viol de la jeune Céline aux "disparus de Mourmelon", en passant par l'assassinat des Romanov, bien des énigmes vont être éclairées d'un nouveau jour.

Un piège à molécules pourrait bientôt compléter l'arsenal de la police pour traquer les "empreintes" olfactives propres à chaque individu et confondre ainsi les suspects.

Les progrès de la science médico-légale sont stupéfiants. Mais, aux Etats-Unis, on remet de plus en plus en cause la rigueur de certaines techniques.

A Ecully, près de Lyon, des chaînes d'analyse automatisées décodent les signatures génétiques laissées par des suspects dans des affaires criminelles. Une des nouvelles techniques de la police scientifique.

Pendant six mois, Sciences et Avenir s'immerge parmi les experts de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Deuxième volet : le laser 3D.

Pendant six mois, Sciences et Avenir s'immerge parmi les experts de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Troisième volet : l'analyse des indices.