Alors qu’une nouvelle proposition de loi sur les fins de vie est en discussion à l’Assemblée nationale (présentée, entre autres, par le député Olivier Falorni), la recherche de la meilleure forme d’aide avant le dernier départ reste d’actualité. Sommaire. Soins palliatifs. Le sens du travail pour les soignants, présentation. Les aides-soignants et les infirmiers face à la fin de vie : l’impact sur leur détresse et leur bien-être. Les médecins confrontés à la fin de vie : charge de travail, charge émotionnelle, dilemmes et santé psychologique au travail.

La loi Claeys-Leonetti de 2016, qui autorise la sédation profonde, suscite des interrogations qui pousse certains à prôner une aide active à mourir. Mais pour ces deux médecins, soigner n’est pas tuer. Il faudrait plutôt favoriser la réflexion sur les pratiques et favoriser l’accompagnement d’une fin de vie chez soi.

L’année 1975 est marquée par une retentissante affaire d’euthanasie en Suisse. Après l’arrestation d’un professeur de gastro-entérologie accusé de meurtres sur ses patients agonisants dans un hôpital régional de Zurich ("Triemlispital"), « l’affaire Haemmerli » retentit en France, en Allemagne et aux Etats-Unis.

Quelque deux cents maternités françaises l'ont d'ores et déjà demandé. Lancé mi-octobre par le Conseil national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), le labe l« bientraitance » des maternités se veut être une réponse aux violences obstétricales dénoncées avec force depuis des années par les patientes. Transparence sur les taux d'épisiotomies, information consultable sur une plateforme vidéo, accompagnement dans le projet de naissance... Le CNGOF - qui n'a pas souhaité répondre à nos questions - a listé douze critères que devront observer les établissements labellisés.

Une exposition en Belgique et un formidable catalogue remettent en lumière le médecin grec qui bouleversa les pratiques de l’Empire romain.

Les réseaux sociaux ont pris une place croissante dans le quotidien de la population depuis le début du XXIe siècle. Leur usage par les professionnels de santé, plus spécifiquement les infirmières et les étudiants en soins infirmiers, revêt un caractère particulier car ils peuvent constituer une ressource précieuse. Ils peuvent également contrevenir à la déontologie infirmière ou encore aux règlements des établissements de santé ou des instituts de formation.