Dans "D'or et de jungle", l'académicien imagine que des mercenaires à la solde d'un géant du numérique prennent le sultanat de Brunei. Une politique-fiction plus proche de Malaparte que de Gérard de Villiers.

Dans "D’or et de jungle", l’écrivain nous transporte au sultanat de Brunei, théâtre d’un coup d’État clé en main mené par une agence privée et commanditée par des milliardaires de la tech.

Un nom pourrait en remplacer un autre. Ainsi, après la lecture "D'or et de jungle", on aurait envie de surnommer l'un de nos plus célèbres académiciens Jean-Christophe "Ruffian" - ceux qui se souviennent d'un vieux film de José Giovanni avec Lino Ventura connaissent forcément ce mot.