Poète, journaliste et écrivain, Robert Giraud (1921-1997) est un spécialiste de l'argot. Avec ses amis Doisneau et Prévert, il devient l'acteur et le témoin du Paris des bistrots. Le Vin des rues, son livre culte, publié chez Denoël, est couronné du prix Rabelais en 1955.

Chantal Lapeyre-Desmaison et Pascal Quignard se sont rencontrés près de Bordeaux au cours de l'hiver 2000. En 1994, l'écrivain a démissionné de toutes les fonctions sociales qu'il exerçait. A travers cet entretien, il rassemble les images qui hantent sa vie, ses traités et ses romans.

L. Calaferte (1928-1994) a tenu des carnets intimes de 1956 à la fin de sa vie. Ils constituent le lieu particulier où l'écrivain se retranche et se confie. L'année 1991, est selon lui une année faste, malgré la maladie lancinante et obsédante, puisque durant ces douze mois, il n'écrit pas moins de cinq livres dont La mécanique des femmes.

Wladimir Le Fèvre d'Ormesson (Saint-Pétersbourg, 2 août 1888 - Chateau d'Ormesson,15 septembre 1973) est un écrivain, journaliste et diplomate français. Fils du diplomate Olivier d’Ormesson (1849-1923), il passe les vingt premières années de sa vie à voyager au gré des affectations de son père (cf. Enfances diplomatiques, Paris, 1932). Après avoir combattu en Alsace pendant la Première Guerre mondiale, il servit comme officier d’ordonnance du maréchal Lyautey, au Maroc, puis il se lance dans le journalisme, particulièrement dans le domaine des relations internationales qui lui est familier. Il collabore notamment au Figaro et à la Revue des Deux Mondes.... in Wikipédia, 2008-05-12

Long entretien avec Michel Jeury, auteur de S.-F. atypique, une bibliographie et une nouvelle inédite de l'écrivain. Contient aussi deux autres textes de science-fiction, signés L. Dutour et M. Swanwick.

Une biographie de l'auteur du roman "Jean-Christophe", en forme d'hommage qui permet d'apprendre aussi beaucoup sur S. Zweig : sa fidélité en amitié, son besoin d'admirer des maîtres intellectuels et de suivre des guides spirituels, son attachement à la culture européenne, à l'amitié franco-allemande et à la paix.

Alain-Fournier eut trois demeures, deux en Sologne, et une à Epineuil-le-Fleuriel où il passa son enfance. Cette dernière fut essentielle, car en elle prirent naissance les souvenirs et les premières images de ce que sera un jour

L'écrivain explique comment sa saga des "Chevaux du soleil" a mobilisé son énergie l'éloignant des combats politiques. Il dit aussi sa blessure de n'avoir pas été admis à l'Académie française. Il raconte la mort de ses amis proches et comment, malgré les tentatives de Mitterrand, il a renoncé à faire partie de la cour. Un document sur le siècle et une vision sans concession du monde parisien.

Edition critique des textes de l'auteur, qui contient également des articles, préfaces et conférences données entre 1944 et 1948, ainsi que des écrits posthumes (1944-1948).