Eclairage sur les dispositions de la loi française du 20 décembre 2011 relative à la copie privée concernant la dispense des professionnels de la rémunération pour copie privée lorsqu'ils font l'acquisition de certains matériels et supports de stockage. Des précisions sur l'usage privé du copiste, les solutions prévues par le législateur, les interrogations relatives à la viabilité de la modalité d'exclusion des professionnels du paiement pour copie privée.

La Conférence open data a réuni, le mois dernier à Paris, une vingtaine d'acteurs de la filière des données publiques. Au programme : transparence et cocréation citoyenne.

A l'heure où l'offre d'édition numérique pour la jeunesse commence à devenir significative et où les bibliothécaires s'interrogent sur la façon dont ils vont pouvoir intégrer ces nouveaux supports pour faire évoluer leurs pratiques en direction du jeune public, il nous a semblé opportun de proposer un état des lieux, forcément provisoire tant le paysage - dans le champ de l'édition comme dans celui des lieux de lecture - est encore mal défini.

Il nous a paru essentiel pour ce dossier de faire entendre le point de vue des éditeurs jeunesse dits« traditionnels», d'autant que plusieurs d'entre eux ont engagé leur maison dans des projets de développement numérique. Véronique Soulé a ainsi rencontré Marion Jablonski chez Albin Michel, Térence Mosca chez Gallimard jeunesse, Aurélya Guerrero chez Milan, Mathilde de Bonte-Joseph chez Nathan et Antoine Ullmann pour la revue « Dada ». Elle les a interrogés sur leurs premières expérimentations et sur leur politique éditoriale dans ce domaine.

Apprivoisement de la filière de l'autoédition par l'édition traditionnelle en France en 2016. L'écriture se démocratise grandement grâce aux outils numériques qui facilitent impression, diffusion, édition et référencement. Avec quelques 55 000 auteurs français et 9 000 ouvrages issus de l'autoédition, les éditeurs classiques passent ce vivier au peigne fin pour y dénicher de nouveaux talents.