Dans les usines japonaises de Chine, les travailleurs se rebellent. Et la contagion menace.

De plus en plus de groupes occidentaux se préoccupent des conditions de travail chez leurs sous-traitants chinois. Mais ceux-ci rivalisent de subterfuges pour dissimuler les fraudes.

Ligne nationaliste, rhétorique néo-maoïste, symbolisme néo-communiste, autant d'éléments qui peuvent augurer de temps à venir difficiles pour les investisseurs étrangers. Harcelées par les autorités chinoises, les entreprises étrangères en Chine, espèrent que la politique sévère de Xi Jinping envers elles n'est qu'une tactique à court terme, non destinée à durer.

Les entreprises occidentales sont prêtes à tout pour accéder au marché chinois. Quitte à aider leurs partenaires d'aujourd'hui à devenir demain leurs concurrents de demain.