Recours croissant des PME françaises à l'affacturage inversé pour pallier leur accès difficile au crédit bancaire. Encore assez confidentiel, ce dispositif permet d'assurer le paiement des fournisseurs en temps et en heure tout en améliorant le besoin en fonds de roulement. Il se distingue de l'affacturage classique par la souscription du contrat par le client et non le fournisseur. Un focus sur le poids des retards de paiement.

Zoom sur l'assurance-crédit, l'un des trois ingrédients d'affacturage encore mal connue des PME en France. Cette méthode, l'affacturage, consiste, pour une entreprise, à céder les créances qu'elle possède sur ses clients à un organisme financier spécialisé appelé factor. Elle permet aussi de se prémunir contre le risque d'insolvabilité de sa propre clientèle. De plus, les entreprises qui font appel à un factor bénéficient d'un audit, par le biais de l'assurance-crédit, de leurs propres clients. Mention de quelques bonnes raisons de souscrire, ou pas, à une assurance-crédit.

Recours croissant par les entreprises françaises à la technique financière de l'affacturage, une solution qui n'est plus uniquement réservée aux organisations matures. Mais face à la multitude des solutions proposées par des prestataires tout aussi nombreux, certaines ont du mal à faire le bon choix en la matière, notamment celles qui démarrent leur activité et sont en mal de liquidités. La prise en compte de certains critères est nécessaire, pour choisir un affactureur répondant, au meilleur coût, aux besoins de l'entreprise.