Regain d'intérêt en 2016 des épargnants français pour le plan d'épargne en actions (PEA), commercialisé depuis plus de vingt ans maintenant, et jusqu'alors relégué au second plan face au succès de l'assurance vie, placement préféré des Français. La raison de ce retour en force : la bonne tenue des valeurs boursières.

Les Français se sont détournés des placements boursiers ces dernières années, notamment depuis la crise-financière de 2007-2008 qui les a conduits à investir leur épargne dans des secteurs d'activité considérés comme plus sûrs, voire plus rémunérateurs. Mais aujourd'hui, face à la baisse généralisée des taux d'intérêt et du prix élevé de l'immobilier, ils sont tentés d'abandonner leurs formes de placements préférés, à savoir l'assurance-vie et la pierre. Sont-ils pour autant prêts à acheter des actions, des obligations, des certificats d'investissement ou des produits dérivés ?

Les SCPI françaises, sociétés civiles de placement immobilier, ont atteint un montant de collecte record en 2017 en terminant l'année à plus de 6 milliards d'euros, en progression de 15,2 %. Ce placement demeure peu risqué, mais offre malgré tout une prime de risque importante qui séduit les investisseurs. Il reste aussi intéressant pour son rendement, même si ce dernier stagne depuis quelques années.

L'assurance-vie continue de séduire les Français, avec des encours de 1676 milliards d'euros à fin décembre 2017, soit une hausse de 3% sur un an. A la suite de la réforme de la fiscalité de l'épargne voulue par le gouvernement Macron, elle est devenue compétitive et accessible, avec un large panel de supports. De plus, ce placement permet de ne pas être soumis à la fiscalité relative aux transmissions. L'assurance vie représente donc une alternative aux placements à court terme habituellement privilégiés par les épargnants. Explications et détails.

Le pouvoir d'achat représenté par les sommes détenues sur les comptes d'épargne a plongé ces 10 dernières années. Si rien n'est plus sûr que le compte d'épargne, il n'est pas mauvais non plus d'oser prendre quelques risques, de manière à obtenir davantage de rendement sur le long terme.

C'est la bérézina sur le marché du bitcoin. Mon objectif initial - doubler ma mise en trois mois - s'éloigne un peu plus chaque jour.

Le bitcoin repasse au-dessus des 8.000 euros, entraînant mes derniers investissements dans une irale positive.