Du moment qu'un parasite trouve des ressources favorables, il se développe sans se soucier de l'espèce colonisée.

Certaines mutations génétiques, responsables de maladies, peuvent également être bénéfiques. Cette ambivalence leur a permis de survivre et l'on peut, grâce à elles, suivre les migrations et le développement de populations humaines.

Nous sommes plus intelligents que nos parents ! C'est du moins ce qui semble ressortir de recherches récentes. Seul problème : ce résultat repose sur des mesures du quotient intellectuel (QI) qui révèlent de nombreuses failles.

"Nous sommes un détail de l'histoire", aimait à dire ce paléontologue plein d'humour et érudit. Le produit de toute une série de hasards, de bifurcations improbables.

Tous les domaines de la biologie utilisent aujourd'hui les méthodes de la génétique moléculaire. La comparaison des données moléculaires et non moléculaires devient un enjeu important de la biologie. Elle implique un décloisonnement des disciplines.

Le reproduction sexuée est apparue très tôt dans l'histoire de la vie. Elle concerne encore aujour'hui la plupart des espèces vivantes. Quelle est donc son origine ? Et quel avantage le sexe présente-t-il par rapport à la reproduction asexuée, bien moins compliquée et plus efficace à court terme ?

Deux galeries consacrées à l'évolution viennent d'ouvrir leurs portes à New York et à Paris. Deux conceptions muséographiques s'opposent.

Les relations hôtes-parasites sont, le plus souvent, envisagées sous un angle ponctuel : à cette aune, elles paraissent stables.

Stature, faciès, pelage : les grandes différences morphologiques entre l'homme et le chimpanzé sont évidentes. Pourtant, leurs génomes sont très proches. Comment dénouer cette contradiction ?

Remontez le temps jusqu'à l'époque où la planète, encore jeune et bombardée de météorites, a abrité les premières réactions chimiques qui ont probablement abouti à l'éclosion de la vie.