Le féminisme, tant d'un point de vue politique que théorique, est assurément pluriel. Sa diversité s'exprime dans le fondement même de sa revendication égalitaire entre femmes et hommes - à partir d'une conception différentialiste ou universaliste -, dans la dimension de cette égalité- matérielle ou questionnant aussi les identités de genre et de sexualité-, dans son articulation ou non avec d'autres luttes sociale et dans ses modes d'action réformistes ou radicaux.

Si vous étiez président-e de La République "Causette", quel-le ministre pour Le Droit des femmes choisiriez-vous ? Axelle Jah Njiké (auteure et militante féministe). Fatima-Ezzahra Benomar (Activiste féministe). Collectif La Barbe (groupe d'action féministe). Emilie Hache (Ecoféministe, universitaire).

C’est un peu l’histoire du yin et du yang, de leur imbrication ou influence mutuelle, de leur ascendance. Finalement, quelle part de masculin faut-il pour renforcer l’action féministe ? Les femmes doivent-elles laisser leur part masculine s’exprimer ? Les hommes doivent-ils prendre part à ce mouvement et comment ? Comment peuvent-ils contribuer à déconstruire les stéréotypes ? Les hommes ont-ils leur place dans le combat pour les droits des femmes à l’égalité ? Quels sont les points aveugles de cette autre face du féminisme qui la leur refuse ? La mixité est-elle toujours vecteur d’égalité ?

La Journée de la femme rallie de plus en plus les jeunes générations. Comment être féministe en 2005 ? La réponse en quatre témoignages.

Leur tactique : investir, affublées de postiches, des lieux de pouvoir trop exclusivement masculins.