Présentation d'une cinquantaine de tableaux qui firent partie de la collection de quelque 1.300 pièces du baron Samuel von Brukenthal, gouverneur de la province roumaine de Transylvanie à la fin du XVIIIe siècle. Le palais de Sibiu (Hermannstadt) était ainsi un véritable musée : Van Eyck, Bruegel, Rubens... Ce catalogue analyse les oeuvres exposées et les replace dans leur contexte.

Des spécialistes présentent une soixantaine de primitifs flamands du XVe siècle, du Maître de Flémalle à Jérôme Bosch. Ils évoquent leur personnalité, leur inspiration, leur génie et dressent un tableau du contexte historique et culturel pour analyser ce qu'il y a eu de déterminant dans l'émergence de cette nouvelle forme d'expression artistique.

Riche de près de 1140 tableaux, la collection des peintures flamandes et hollandaises du musée du Louvre (du XVe au XIXe siècle), d'une variété remarquable et célèbre à plus d'un titre par quelques chefs-d'oeuvre universellement connus, fait l'objet d'un nouveau catalogue qui succède à celui, beaucoup plus sommaire, de 1979. Soit, pour chaque peinture, une notice illustrée pourvue d'un historique approfondi, d'un choix des principales références bibliographiques et, le cas échéant, de quelques nécessaires indications iconographiques, chronologiques ou stylistiques. Le catalogue suit une répartition par siècle, ce qui donne une meilleure lisibilité de la collection et de ses points forts. Un jeu d'index (artistes, titres des oeuvres, provenances : commanditaires, collectionneurs, marchands et donateurs) et la bibliographie des ouvrages utilisés assurent à cet ouvrage sa fonction attendue d'instrument de recherche.

Lié à l'exposition du Musée Groeninge de Bruges, cet album présente les oeuvres d'une artiste contemporaine en écho à six chefs-d'oeuvre de Van Eyck, Van der Weyden, Marmion, Memling, Van der Goes... Inspirée depuis toujours par les primitifs flamands, elle a scruté pendant quatre ans les oeuvres de ces maîtres pour y associer son propre regard.

Présentation à travers des oeuvres de D. Bouts, H. Memling, J. Bosch, J. Patinir, etc., de la peinture de paysage flamande et de ses liens avec le courant humaniste, et les traditions populaires et religieuses du XVIe siècle.

Le monde fantastique apparaît comme un état permanent dans la culture visuelle, en peinture, bande dessinée... L'exposition fait le rapprochement entre les créations des siècles passés et les créatures, monstres, décors et ambiances de la bande dessinée d'aujourd'hui.

De 1150 et 1250, les régions de la France du Nord et de la Meuse connaissent une intense activité culturelle et intellectuelle, favorisée par une intense circulation entre la Flandre et la Champagne, qui entraîne un essor artistique fécond et l'émergence d'un style nouveau, appelé style 1200. Quelques cent soixante pièces sont réunies pour cette exposition : orfèvrerie, sceaux, statues, etc.