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Graffitis. Inscrire son nom à Rome (XVIe-XIXe siècles)

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Auteurs
Date parution pério
2014-12-01
On imaginerait difficilement qu'un éminent représentant du monde de la culture encourage aujourd'hui la pratique des graffitis. Pourtant, à la fin du XVIIIe siècle, Vivant Denon, futur père des collections égyptiennes du Louvre et lui-même grand collectionneur, comprenait fort bien que l'on inscrivit son nom sur les monunents les plus vénérables de l'Antiquité : il parlait à ce sujet de l'orgueil bien légitime de "monumenter son nom".
Numéros de page :
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