Le sommet d'Osaka a été dominé par les rencontres de Donald Trump avec des dirigeants illibéraux comme Poutine, Bolsonaro et Erdogan

A la veille du sommet du G20 à Séoul, les dirigeants des pays les plus riches veulent s'attaquer à la réforme du système monétaire international. Mais ont-ils tenu leurs précédentes promesses ? Bilan sur deux ans.

Le sommet des grandes puissances, qui se tenait les 7 et 8 juillet 2017, a été marqué par les affrontements entre police et manifestants, déplore cet éditorialiste.

Le verre que les chefs d'Etat ont rempli à Londres divise. A moitié vide, jugent les sceptiques, qui refusent d'additionner les milliards des relances nationales aux crédits du FMI. Trop plein, estiment les pessimistes devant des régulations techniques difficiles à mettre en oeuvre. Mais tous saluent l'ambition du projet.

A la veille du G20 de Pittsburgh, un des meilleurs économistes français, installé à New York, examine les mesures prises et à prendre pour réguler le capitalisme financier.

Nicolas Sarkozy compte toujours sur la scène internationale pour se ″représidentialiser″. Mais les réticences de ses partenaires l'obligent déjà à une prudence qui ne lui est pas habituelle.

Pour la première fois, trois G20 sont prévus en moins d'un an. Le sommet de Londres a proposé des mesures précises. Mais l'analyse de la crise reste des plus sommaires

La Turquie, qui assume cette année la présidence du G20, accueillera son prochain sommet les 15 et 16 novembre 2015 à Antalya. Les autorités nationales souhaitent mettre cette occasion à profit afin de promouvoir la finance islamique, qui permettrait selon elles de répondre aux problèmes de financement que rencontrent beaucoup d'entreprises et favoriserait de la sorte la croissance économique.

Sûrs de leur puissance, les grands émergents secouent le joug des anciens maîtres du monde.