Pour piéger la droite et favoriser sa réélection en 2017, François Hollande reprend à son compte une vieille revendication du Front national : la déchéance de nationalité pour les binationaux coupables de terrorisme. C'est ce qui s'appelle jouer avec le feu.

C'est au Mali, en 2013, qu'il avait gagné ses galons de chef de guerre. Et c'est à Bamako, lors du 27e Sommet Afrique-France, que le président qui se voulait normal a dit au revoir au continent.

L'Elysée mise sur le redressement en cours de la productivité du pays pour tenter de vendre avec un nouveau mandat l'amplification de sa politique.

Le parler-vrai est rarement un instrument de conquête politique. Chacun à leur façon, Hollande et Fillon s'y essaient.

Des instruments américains ont observé ces déformations de l'espace-temps prédites par Einstein en 1916.

Cent ans après la bataille meurtrière, le couple franco-allemand a du mal à faire front pour sauver l'Europe

Confronté aux attentats à répétition, le chef de l'État français cherche vainement de nouvelles initiatives

L'OFCE pointe le redressement trop lent de l'emploi mais juge l'économie en meilleure posture qu'en 2012

Même attendue, la démission du ministre de l'économie fragilise encore un peu plus le chef de l'État

Alors que son image s'effondre dans l'opinion, le président de la République revient, dans un entretien avec l'historien Pierre Nora et le philosophe Marcel Gauchet pour la revue "Le Débat", et dont "Le Monde" publie des extraits, sur sa politique "sociale-démocrate" et sur le sens de son action

Depuis plusieurs semaines, proches et concurrents du chef de l'Etat attendaient l'annonce de sa décision. Celui-ci a maintenu le suspenses jusqu'au bout.