Habituée aux livres chocs, la juriste Marcela Iacub dénonce la violation de la présomption d'innocence dans l'affaire du Sofitel. Elle y voit la pression des féministes... qui répliquent.

Mais pourquoi cette chercheuse aussi brillante que radicale a-t-elle cru bon d'ajouter sa version ″belle et bête″ au feuilleton DSK ? Même ses proches ont du mal à comprendre.

Présenté comme un champ d'expérimentation littéraire, ″Belle et bête″ de Marcela Iacub se révèle, au final, une machine à buzz où écrire sur autrui s'avère secondaire.

Après la parution du livre que Marcela Iacub consacre à sa liaison avec DSK, le philosophe s'alarme de voir la vie privée, conquête des temps modernes, jetée en pâture à une société de plus en plus exhibitionniste.

Manipulation ou pas ? Récit de la genèse d'un ouvrage qui a affolé le Tout-Paris.

″En matière de sexualité, l'Etat occidental est violent et arbitraire″, affirme la juriste Marcela Iacub. Portrait d'une chercheuse sulfureuse.

Si Marcela Iacub se réjouit du naufrage du couple et tire profit de la confusion des sentiments, Francis Wolff tente brillamment de garder la tête froide et les idées claires. Ou pourquoi, entre sexe et passion, les histoires d'amour finissent mal... en général

Féminisme, sexe, discours amoureux, cette chercheuse se plaît à retourner les idées reçues pour troubler les esprits. Mais son nouvel essai sur l'affaire DSK ne convainc pas.

La publication du livre de Marcela Iacub ″Belle et bête″ et notre couverture du 21 février 2013 ont embrasé le monde médiatique et entraîné, à la demande de Dominique Strauss-Kahn, notre condamnation en référé. L'affaire appelle de notre part une explication. La voici.