Powernext Carbon, la bourse d'échange de "permis de polluer", ouvre cette semaine. En espérant contribuer à réduire le réchauffement de la planète.

Après avoir défini et rappelé la genèse (récente) de ce concept, Cyril Adou et Arnaud Ansart présentent ici, exemples à l'appui, l'intérêt de l'écologie industrielle. Partant de cas concrets de parcs éco-industriels (en Europe, Amérique ou Asie), ils montrent comment peut s'établir une "symbiose industrielle" entre entreprises d'une même région, les déchets des unes devenant les matériaux de production des autres.

L'industrie gagnera en propreté et en efficacité lorsqu'elle recyclera ses produits et qu'elle évitera de produire des déchets, lors des opérations de production.

Il est l'instigateur du grand rendez-vous écologique français. Mais ce que l'on sait moins, c'est que ce trublion Hulot est aussi devenu le conseiller des princes.

L'idée de monnayer les droits à polluer, idéale sur le papier, se révèle complexe à mettre en place sans effets pervers et en toute transparence. D'autant que l'ONU, chargée d'encadrer ce business, est pour le moins débordée

Décryptage, en septembre 2011, du concept de l'écologie industrielle qui vise à créer un écosystème industriel où les résidus de production de l'un deviennent une ressource pour l'autre. Le principe : les entreprises mutualisent services et équipements et échangent leurs flux afin de générer le moins de déchets possibles et de réduire leur consommation de matières premières et d'énergie. Un bilan positif tant sur le plan écologique que purement financier. Zoom sur les freins qui persistent quant au développement de ces synergies.