La face sombre de l'intelligence connective

Du célèbre Asimo au prototype Achilles, les nouveaux modèles de jambes automatisées sont plus que jamais calqués sur l'anatomie humaine.

Un point sur le travail en cours du chercheur Ehsan Hoque, de l'université de Rochester, dans l'Etat de New-York, qui essaie d'écrire le code universel de la communication non verbale. Spécialiste de l'informatique affective, il s'intéresse au rôle de l'émotion dans les interactions entre humains et ordinateurs. Il a mis au point un "assistant de conversation" robotique.

Plus fort que les applis, les bots.

Les données sont devenues le moyen privilégié d'encapsuler l'information toujours plus complexe produite par nos sociétés. Les interactions qui nous permettent de les comprendre et de les utiliser sont en plein renouvellement. C'est l'objet d'étude d'une nouvelle discipline, les interactions hommes-données.

Le design sonore ne se limite plus aux identités de marques et aux sonneries de téléphone. Il s'agit désormais d'inventer une sorte de linguistique acoustique pour les robots ou les voitures intelligentes.

Marmitons de tout poil, réjouissez-vous : des plaques qui gèrent la cuisson au réfrigérateur qui affiche son contenu à distance, les appareils de cuisine deviennent (de plus en plus) intelligents.

Le cinéma et la télévision peinent à décrire notre nouvelle idylle avec les robots. Et pour cause, décrypte la professeure britannique Kate Devlin, cette proximité avec les machines nous effraie.