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Jane Eyre

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B3 Centre de ressources 8(092) BRONTE J En réserve
Année de parution :
2008
Le succès de Jane Eyre, roman victorien qui s'inscrit dans l'imaginaire collectif, ne s'est jamais démenti. C'est que ce parcours d'une héroïne en quête d'elle-même, du dénuement au bonheur et à l'indépendance, malgré ses airs de Bildungsroman ou de conte de fées, n'a cessé d'inspirer des lectures divergentes : roman immoral ou conservateur, éloge de la révolte ou leçon de modération, récit original livré par une voix profondément dérangeante ou romance au schéma traditionnel... Une multiplicité de critiques - féministes, marxistes, postcoloniales - ont à leur tour sondé ce texte ambivalent et analysé ses accents mêlés de rébellion et de retenue. A ces lectures peuvent s'ajouter les différentes adaptations cinématographiques, qui elles aussi interprètent le texte. Les films produisent des idées sur le roman et l'interrogent selon les grands axes des genres, des motifs et des thèmes que Brontë a empruntés à son temps, à sa culture et à son expérience personnelle. L'étude croisée de multiples versions filmiques de Jane Eyre est donc l'occasion d'un entraînement à l'étude de toute adaptation et d'une réflexion plus générale sur le statut de l'adaptation comme acte de création, comme texte et comme activité de lecture.
Collection :
Collection CNED-PUF
Collection CNED-PUF
Importance matérielle :
1 vol. (169 p.) : couv. ill. en coul. : 20 cm
9782130571070
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Article

Date parution pério
2023-03-01
Fascinantes soeurs Brontë, dont l'histoire ressemble à un conte gothique ! Il était une fois, dans l'Angleterre du début du XIXe siècle, un vicaire réputé bon, pauvre et rigoriste, qui vivait avec ses trois filles et son fils dans un presbytère de village avec vue sur une lande archétypale. Un cancer avait emporté sa femme, et la tuberculose, ses deux premières filles ; par ailleurs, son ministère lui imposait souvent de laisser sa progéniture survivante sous la garde d'une tante et d'une servante.
Numéros de page :
pp.42-53