Lanners, Bouli (19..-....) -- Entretiens
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Auteurs
Delorme, Gérard Auteur du texte
Bulletin : Première 461-462 - juillet 2015
Dans « Je suis mort mais j'ai des amis », des frères Malandrin, Bouli Lanners, rocker, vole les cendres du chanteur de son groupe qui vient de mourir pour l'emmener en tournée aux US. Et les films qui l'ont marqué sont...
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Numéros de page :
1 p. / p. 154
Article
Bulletin : Positif 660 - février 2016
Bouli Lanners n'est pas seulement un cinéaste. C'est un artiste qui a abandonné la peinture pour le cinéma quand il a découvert que les films lui permettaient de raconter une histoire tout en poursuivant ses recherches visuelles. Auteur de ses propres scénarios, il s'est parallèlement illustré en tant qu'acteur, marquant les films du tandem Benoît Delépine-Gustave Kervern, mais aussi d'Albert Dupontel et de son compatriote belge Benoît Mariage, de son sens de l'absurde et de son penchant pour la mélancolie.
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Numéros de page :
8 p. / p. 13-20
Article
Auteurs
Guerand, Jean-Philippe Auteur du texte
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 630 - février 2016
Date parution pério
2016-02-01
C'est dans un film emblématique du jeune cinéma belge, "Toto le héros" de Jaco Van Dormael (1990), qu'apparaît pour la première fois Bouli Lanners sur grand écran. Il a alors 25 ans, une scolarité interrompue aux Beaux-Arts de Liège et une succession de petits boulots à son actif. De régisseur, il devient acteur, un peu par accident, puis prend goût à cette activité. Les court-métragistes et les réalisateurs de télévision puis de cinéma le sollicitent. Il se prend au jeu et s'essaie à son tour à la mise en scène.
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Numéros de page :
8 p. / p. 86-93