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Licorice Pizza

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Auteurs
Bulletin : Marianne 1295
Paul Thomas Anderson signe un film fantasque et attachant sur les péripéties de deux jeunes Californiens des années 1970. Un concentré de drôlerie et de mélancolie qui inaugure en majesté l'année cinéma.
Numéros de page :
pp.74-75

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Bulletin : L'Obs 2983
Après le vénéneux "Phantom Thread", Paul Thomas Anderson revient avec le radieux "Licorice Pizza", romance dans le Los Angeles de 1973. Rencontre.
Numéros de page :
pp.126-127

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Bulletin : Première 525
A rebours de ses monolithes énigmatiques des dernières années, PTA signe son oeuvre la plus accessible et lumineuse, en racontant une romance enivrante dans la Californie de 1973. Beau comme un premier film tourné avec le savoir-faire d'un grand maître.
Numéros de page :
pp.92-93

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Auteurs
Date parution pério
2023-04-01
La sortie de "The Fabelmans" (Steven Spielberg, 2022) s'inscrit dans le prolongement de deux productions récentes ("Licorice Pizza", de Paul Thomas Anderson, en 2021, et "Armageddon Time", de James Gray, en 2022) réunies par une démarche commune. À la différence de Quentin Tarantino qui avec "Once Upon a Time in... Hollywood" (2019) fantasmait une époque et un univers qu'il n'a pas directement connu, Anderson, Gray et Spielberg ont choisi de façonner la fiction à partir de souvenirs de leur propre enfance ou de celle de leurs proches.
Numéros de page :
pp.58-60

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Date parution pério
2022-01-01
Ayant emprunté des chemins de traverse aberrants pour ne raconter rien d'autre que la naissance d'un amour, "Licorice Pizza" vous laisse dans un état de sidération douce et paradoxale. Douce en raison de la douceur du film lui-même, germée dans "The Master", "Inherent Vice" et "Phantom Thread", mais se déployant ici, sous les atours d'une romance légère et vintage, avec une limpidité nouvelle et bienfaisante - osons ce cliché de distributeur de films : on en sort heureux, léger, reconnaissant. Sommaire. Des joues pâles et rosissantes, la critique du film.
Numéros de page :
pp.12-23

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Bulletin : Positif 731
Date parution pério
2022-01-01
Il faut le rappeler : Paul Thomas Anderson est né il y a 51 ans à Studio City, quartier bien nommé de Los Angeles. Devenu l'un des cinéastes américains les plus doués de sa génération, il continue à faire de la mégalopole californienne son terrain de jeu préféré. Après un détour par la Grande-Bretagne avec "Phantom Thread" (2017), "Licorice Pizza" le ramène à sa terre, aux décors de "Boogie Nights" (1997), "Magnolia" (1999) ou encore "Inherent Vice" (2014). En toute logique, c'est donc à Los Angeles que nous avons retrouvé Paul Thomas Anderson pour évoquer ce neuvième long métrage.
Numéros de page :
pp.14-23