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Ma vie, ma gueule

Article

Auteurs
Date parution pério
2024-09-01
Avec "Ma vie, ma gueule" de Sophie Fillières, Agnès Jaoui trouve à exprimer pleinement son abattage comique, tout en ambivalence et disruption. Elle nous parle de ce rôle tragicomique et de sa relation avec la cinéaste, disparue après le tournage, mais aussi de son enfance, des blessures narcissiques qui ont jalonné sa vie, de Patrice Chéreau, d'Alain Resnais ou encore de politique. Et bien sûr de Jean-Pierre Bacri.
Numéros de page :
pp.60-65

Article

Auteurs
Date parution pério
2024-09-01
Pourquoi faire semblant ? Posée de façon rhétorique par Barberie Bichette (Agnès Jaoui) pour commenter son choix de la police de caractères Arial, l'interrogation s'avérera profonde et lancinante. Barberie entame la rédaction d'un texte qui porte le titre "Ma vie ma gueule", installant d'emblée le principe d'une écriture réflexive où ses questionnements feront écho à ceux de la cinéaste. Sommaire. Qui est là ?, critique du film. Sophie Fillières, passages secrets.
Numéros de page :
pp.30-37

Article

Bulletin : Europe 1145
Date parution pério
2024-09-01
Sophie Fillières, décédée à l'âge de 58 ans en 2023, fait partie d'une "famille de cinéma" contemporaine et atypique. Soeur de l'actrice Hélène Fillières, épouse du cinéaste Pascal Bonitzer - ancien critique aux "Cahiers du cinéma" - et mère de l'actrice Agathe Bonitzer, elle a pratiqué durant une trentaine d'années un cinéma à la fois primesautier et amer où se croisent plusieurs influences : celle d'Éric Rohmer en mineur ou d'Emmanuel Mouret en moins démonstratif. Elle est l'une des cinéastes qui ont contribué à bâtir un nouveau cinéma français au féminin.
Numéros de page :
pp.271-273