Chaque mois, 129 milliards de masques à usage unique sont jetés. Des entreprises testent de nouveaux matériaux qui les rendraient moins nocifs pour la planète.

A partir du 1er septembre 2020, en France, le masque sera obligatoire dans les entreprises, en dehors des bureaux individuels. Une décision qui intervient dans un contexte d’hostilité croissante : en France et ailleurs, des mouvements contestent l’utilité du masque et même la réalité de la pandémie, et sont de plus en plus convaincants. Sommaire. Bal masqué au bureau. J'ai vécu une journée infernale. Elvis est vivant, la Terre est plate et le masque inutile. Faut-il débattre avec les antimasques ?

Avant, on braquait les banques ou les bijoux des rombières. Aujourd'hui, on braque les masques destinés aux hôpitaux. Avant, on allait s'acheter une chemisettes demi-saison "made in Taïwan" pour l'été. Aujourd'hui, on espère que l'ami chinois nous vendra ses stocks FFP2 et l'on se fabrique de jolis masques artisanaux avec des tutos...

De nombreux créateurs et marques indépendants proposent leurs versions de cet accessoire devenu indispensable. Ils devancent largement les grandes griffes, réticentes à se lancer de peur d’être soupçonnées de faire des affaires sur le dos d’une crise sanitaire.

Handicapés par le confinement et la fermeture des magasins, les acteurs du marché du textile ont décidé de se mettre au service de la lutte contre le coronavirus en 2020, en se tournant vers la fabrication de masques. De nombreuses entreprises françaises ont répondu à l'appel de l'Etat et se sont mis à concevoir des masques en tissus à la place ou en complément de leurs produits habituels.

Une famille de ce petit village de l’Hérault a accepté de se confier sur l’obligation du port du masque et sur les mesures de précaution liées à la crise sanitaire. Entre défiance envers la parole gouvernementale et médiatique et résignation face à une menace persistante.

En juillet 2020, après une détérioration de la situation sanitaire en France et le constat d'un important surrisque de contamination en intérieur, le port du masque est devenu obligatoire dans les "lieux publics clos". Mais cela est -il vraiment efficace ? Tour de la question en 4 points.

Le sujet hante le personnel soignant depuis le début de l'épidémie. La France a découvert qu'elle était en manque tragique de masques de protection, faute d'avoir constitué des stocks de cet équipement basique mais vital.

Ils refusent de porter cet "étouffoir" au nom de la défense de la liberté. Les plus radicaux doutent même de la réalité du Covid. Rien de neuf sous le soleil: toutes les crises sanitaires ont généré leur lot de dissidents. Né aux Etats-Unis, le mouvement antimasques recrute tous ceux qui rejettent le système. En France, il a conquis une bonne partie des "gilets jaunes": quelques intellectuels, mais aussi des médecins. Sommaire. La galaxie des antimasques. L'internationale des "coronarebelles". "On n'a plus le droit de rien", ce tube indémodable.

Avec la pandémie de Covid-19 en 2020 la production de masques médicaux en France a connu un coup d'accélérateur exceptionnel. Commandes publiques, investissements ou encore subventions : l'Etat se donne les moyens de relocaliser et de reconstruire la filière. Détails. Quelques données chiffrées.

Depuis le début de la pandémie, l'utilisation des masques jetables a explosé. Balancés avec les ordures ménagères, ils ne sont pas recyclés et constituent une source de pollution plastique dont la planète se passerait bien. Problème : les solutions pour remédier à ce fléau tardent à se mettre en place.

Créé, puis négligé par l'Occident, il a conquis une Asie rattrapée par les pandémies. Histoire d'un accessoire que le monde s'arrache.