Découvre le manchot empereur, un oiseau exceptionnel par son adaptation à un milieu extrême : l'Antarctique.

Le léopard des neiges hante depuis des millénaires des contrées parmi les plus difficiles d'accès en Asie centrale. L'air raréfié, la neige épaisse et les températures glaciales lui ont permis d'échapper au regard de l'homme. Mais les protecteurs de l'environnement, les pièges photographiques et, désormais, le tourisme mettent enfin en lumière ce félin très mal connu.

Il a choisi le sud de l'Italie, Matera et ses authentiques quartiers classés au Patrimoine mondiale de l'humanité : là, il trouve gîte, couvert et hospitalité. Quand les rapaces et les hommes cohabitent en bonne intelligence...

Du plus grand au plus petit, les félins se ressemblent étrangement : redoutables chasseurs, rapides mais grands dormeurs, ils n'acceptent de loi que la leur. Et certains possèdent en plus des moeurs inattendues... Sommaire. Félins, portraits de ces chasseurs fascinants. Petits, mais habiles ! Les lions de Bila Shaka.

Au large de l'ïle Maurice, des chercheurs emmenés par François Sarano, ex-collaborateur de Cousteau, plongent avec des grands cachalots pour mieux les étudier. Leurs méthodes atypiques font évoluer nos connaissances sur ces cétacés.

Dans le désert du Kalahari, l'un des milieux les plus hostiles de la planète, ils vivent en tribu en faisant preuve d'un étonnant esprit d'équipe. Immersion chez ces petits carnivores qui défendent ardemment leur clan et leur territoire.

Depuis qu'il s'est découvert une passion pour les pieuvres, calamars et autres seiches, ce philosophe américain ne cesse de plonger pour les observer. Au point d'avoir découvert chez eux des caractéristiques qui laissent songeurs les humains.

Ouïe fine, vue perçante, serres puissantes, vol silencieux... Le plus gros des rapaces nocturnes est un prédateur aussi discret qu'efficace. Rencontre avec le hibou grand-duc et l'un de des admirateurs : un photographe jurassien plein de talent qui a passé bien des soirées à le guetter.

Des chercheurs ont montré que les babouins utilisent en majorité leur main droite pour communiquer par les gestes. Cette latéralisation se reflète dans leur cerveau : les aires du langage sont plus étendues dans leur hémisphère gauche, tout comme dans l'espèce humaine. Ces travaux pourraient bien révéler les origines ancestrales de la parole.