Le biologiste moléculaire présente douze lois qui régissent le cerveau humain et propose des conseils pour en tirer parti au quotidien : stimuler ses facultés mentales par l'exercice physique, une quantité suffisante de sommeil et une limitation du stress, prendre en compte ses capacités cérébrales, stimuler sa mémoire par la répétition, etc. ©Electre 2018

Le craving désigne le besoin irrépressible de surconsommer un produit psychoactif (alcool, tabac ou sucre) ou d'adopter un comportement de dépendance (portable, amour, entre autres). Expliquant les mécanismes à l'oeuvre dans les addictions, le psychiatre J. Brewer explique, à travers des cas cliniques, comment la pleine conscience permet de s'en libérer. ©Electre 2020

Souvent surmené par le bombardement constant d'informations, le cerveau est inévitablement amené à faire des erreurs. Le neurologue explique pourquoi l'imperfection du cerveau est davantage une vertu qu'un défaut. En se trompant, il stimule la créativité, la concentration et renforce les prises de décision. Ce qui représente un avantage considérable sur l'intelligence artificielle. ©Electre 2019

Présentation des connaissances anatomiques et physiologiques de base sur le cerveau et panorama des principaux désordres de la personnalité, cognitifs et émotionnels provoqués par des lésions cérébrales. Nouveau chapitre sur la neuropsychologie de la musique, ainsi que sur la neuropsychologie du goût et de l'olfaction. ©Electre 2018

Recueil d'articles publiés dans la revue Cerveau & psycho exposant les bienfaits de la méditation, de la relaxation, de la pensée positive et du mode de vie, entre autres, sur la santé et la prévention des maladies. ©Electre 2017

Le neuropsychologue démontre que les émotions, les sentiments, le fonctionnement de l'esprit, mais aussi les formes les plus complexes de la culture et de l'organisation sociale s'enracinent dans les organismes unicellulaires les plus anciens. ©Electre 2017

Afin d'élever au mieux les enfants en bas âge, l'auteur propose de détecter le type d'intelligence du nouveau-né, notion indépendante du quotient intellectuel, dans l'une des sept catégories établies. Des conseils sont prodigués pour mettre en place des règles d'éducation, sensibiliser et garantir l'éveil de l'enfant par de bonnes habitudes et une communication harmonieuse. ©Electre 2019

Le docteur Michèle Mazeau le prouve dans ses mémoires : les DYS- relèvent de la NEUROLOGIE et pas de la psychologie, ni de la pédagogie, ni même de la pédiatrie, et encore moins des opinions « éducatives » des uns ou des autres.Les DYS- ne sont pas nés de rien, mais des progrès des neurosciences dans les années 1980-2000… Aussi a-t-il fallu réviser de véritables dogmes établis depuis plus d'un siècle, et les remettre en question à la lumière des nouvelles connaissances et contredire nombre d'affirmations péremptoires comme « rien de ce que nous savons du cerveau adulte ne peut nous être utile pour comprendre l'enfant », « surdité et dysphasies s'excluent mutuellement », « déficience mentale ou haut potentiel intellectuel excluent un dys- », etc. Les DYS-, ce n'est pas une façon de renommer l'échec scolaire ! C'est la mise à jour de particularités, d'atypies du développement cérébral de l'enfant qui lui sont défavorables pour telle ou telle sorte d'apprentissages. Donc les dys-, c'est une pathologie neurologique et il y a forcément une interaction, un lien fort entre ces nouvelles connaissances du développement du cerveau de l'enfant et les apprentissages à l'école. Mais ne sombrons pas dans la paranoïa : il ne s'agit pas de savoir si « le médical veut prendre le pouvoir à l'école », si « on veut médicaliser l'échec scolaire » ! Il s'agit de prendre en compte des pathologies neuro-développementales qui se manifestent essentiellement lors des apprentissages scolaires : soignants et éducateurs, nous allons être o-b-l-i-g-é-s de travailler ensemble et de collaborer pour le bien de l'enfant… et de leurs parents. Bref, arrêtons de comprendre les dys-, de les diagnostiquer et de les rééduquer comme il y a trente ans. Depuis, les neurosciences sont passées par là. Cette discipline, encore récente, demande de nouveaux spécialistes en nombre terriblement insuffisant encore aujourd'hui.

L'attention est déterminée par le cerveau. C'est un phénomène biologique qui a aussi ses limites. Face aux sollicitations multiples, le manque de concentration peut s'avérer gênant au quotidien. Cet essai permet de mieux comprendre ce phénomène biologique.