La journaliste israélienne Amira Hass rapporte dans "Haaretz" l'histoire de cet homme privé de son droit de résidence pour avoir poursuivi son cursus universitaire - et travaillé - à l'étranger.

Les organisation israéliennes "Briser le silence" et "Ir Amim" proposent aux touristes de leur montrer les réalités cachées de leur pays en les emmenant dans des quartiers palestiniens.

L'offensive lancée le 28 juin 2006 par l'armée israélienne, avec l'objectif proclamé de libérer un de ses soldats, a provoqué la destruction des principales infrastructures civiles de la bande de Gaza. Face à cette catastrophe humanitaire, les Palestiniens de Gaza, de Cisjordanie, d'Israël et de la diaspora sortent de leur silence pour crier leur colère contre Israël, mais aussi contre leurs propres dirigeants et les groupes armés, devenus incontrôlables.

Il n'y a pas que des Israéliens de gauche ou des pacifistes européens qui luttent contre l'expropriation des Palestiniens de Jérusalem-Est. De nombreux juifs pratiquants s'associent également à ce combat contre ce qu'ils pensent être une terrible injustice.

Un peuple oublié de l'histoire où n'émergent pendant longtemps que la figure du combattant au keffieh, celle du réfugié ou, plus récemment, celle du terroriste kamikaze. Derrière ces images, il y a plus d'un siècle d'histoire.

On estime à cinq millions les Palestiniens qui ont essaimé dans le monde entier. Trois millions et demi d'entre eux sont encore des réfugiés.

Cet article examine le discours palestinien sur les biens et la propriété dans le contexte israélo-palestinien. Il analyse ce discours au sens culturel, à travers les récits autobiographiques palestiniens de visites de retour dans les maisons urbaines. Cet article se concentre sur deux moments historiques (après 1967, et dans les années 1990) durant lesquels les visites de retour des Palestiniens dans leurs anciennes maisons, leurs anciens quartiers et villes se multiplièrent, et il s'articule autour de trois parties.

C'est un peuple né de la guerre. Quand ils ont décidé de se réinstaller, deux mille ans après, sur la terre de la Bible, les futurs Israéliens ignoraient qu'ils allaient donner naissance à deux nations : la leur, bien sûr, mais aussi celle de ces Arabes de l'Empire ottoman qui allaient devenir les Palestiniens. Depuis, les deux peuples luttent pour leur existence.

L'un syrien, l'autre palestinien, deux intellectuels explorent le nationalisme arabe, la question palestinienne et les défis de la démocratie.

Dans son dernier livre, l'historien Elias Sanbar traite de la représentation du peuple palestinien à travers des centaines de photographies. Un ouvrage qui interroge la subjectivité de ce médium et la difficulté d'un peuple à exister au-delà des clichés, même les plus bienveillants.