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Pas de vagues

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Avec son estrade et ses chaises, on dirait un théâtre. Avec son tableau noir, elle figure un cinéma. Seul en scène dans la salle de classe, le professeur y fait face à des élèves venus pour apprendre, désobéir, expérimenter, grandir, s'abriter des maux du monde ou les répercuter. Des « moutonssss » de Louis Jouvet dans "Topaze" (Louis Gasnier, 1933) à la saga "Harry Potter", de la Kirghüzie d'Andreï Kontchalovski ("Le Premier Maître", 1965) aux "Sous-doués" (Claude Zidi, 1980), le cinéma s'est beaucoup plu à retourner à l'école.
Numéros de page :
pp.90-92, 94-102, 104-112

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Auteurs
Date parution pério
2024-03-01
En ces temps de grande suspicion à l'égard de ce qui détermine les rapports entre les hommes et les femmes, et où les divergences de ressentis sur les mêmes faits avérés constituent un poison, c'est peu dire que "Pas de vagues" tombe à pic, même si rien n'indique que son auteur ait eu le désir d'apporter son écot au débat actuel.
Numéros de page :
pp.108-115