Bouleversement du secteur de l'enseignement professionnel et de la formation continue, en France et dans le monde, en 2013, du fait de l'essor continue des cours en ligne (MOOC - Massive Online Open Courses). A l'heure de la concurrence internationale entre les établissements, ces enseignements gratuits, ouverts à tous, sollicitent de nouveaux modes de formation tout en posant des questions cruciales, encore sans réponses : quel est le bon modèle économique ? Faut-il dispenser les cours en français ou en anglais, attribuer une attestation, un certificat, un diplôme ?

Eclairage sur le modèle du Mooc (Massive open online courses), en plein essor, en France et dans le monde. Des cours en ligne ouverts à tous, quasi-gratuits, qui marquent un véritable basculement de l'enseignement supérieur, et de la formation continue, vers le numérique, à l'heure où le secteur devient de plus en plus concurrentiel et mondialisé. Mais, face à cette potentielle concurrence, le e-learning n'a pas dit son dernier mot : la personnalisation de l'apprentissage et l'accompagnement en présentiel sont autant de défis que les moocs ne sont pas encore capables de relever.

Essor dans le monde, des ″massive open online courses″ (″Mooc″), des plates-formes collaboratives de cours gratuits en ligne proposés par les universités les plus prestigieuses. Elles offrent aux candidats à la recherche de formations des ressources considérables, tout en bouleversant les apprentissages. Du lancement de sociétés technologiques au développement de la créativité, en passant par l'exploration de modes de financement innovants, de nombreux programmes dispensés entièrement en ligne séduisent les apprenants de toute la planète.