Il y a du wax dans le smog ! Depuis quelques années, la capitale britannique vibre aux couleurs de l'Afrique. Soutenus par des institutions publiques et des initiatives privées, les créateurs de tout poil y trouvent matière à s'exprimer. Visite à travers une ville plus vibrionnante que jamais. Sommaire. Black Cultural Archives : documenter les lacunes. School of Oriental and African Studies : cent ans à l'écoute de l'Afrique. Royal African Society : un lobby royal pour le continent. British Museum : l'alliance du classique et du contemporain. Rivington Place : l'art et l'engagement.

La première ville a obtenu les JO en 2012. La seconde espère bien lui chiper l'Exposition universelle en 2025. Entre les deux cités, tous les prétextes sont bons pour prendre l'avantage. Une guéguerre qui dure depuis des années et semble dépassée à l'heure où la compétition entre les capitales est devenue mondiale.

En pleine crise, musées et galeries multiplient les expos. On ouvre de nouveaux lieux dédiés à la création contemporaine. Londoniens et touristes s'y bousculent. Surtout quand c'est gratuit